Dialogue social sur la protection des enfants et leurs droits à Panzi
Dans le cadre du projet prise en charge holistique des enfants accusés de la sorcellerie et enfants en difficultés, financé par CHILDFUND DEUTSCHLAND, il a été tenu en date du 17Juin2021, un dialogue communautaire dans la salle MUZIHIRWA de la paroisse de PANZI située dans la commune d’IBANDA. A traves cette activité, le Centre OLAME avec le financement de CHILDFUND DEUTSCHLAND entend protéger les familles et particulièrement les enfants en situation difficile
Durant cette activité à laquelle étaient conviés différents leaders communautaires du quartier NDENDERE et quartier PANZI et la représentante du commandât de la police chargée de la protection des enfants ; les participants ont développé sous la facilitation de Madame GISELE BABUNGA chargée du projet et animatrice du Centre OLAME, une thématique portant sur « les cas des maltraitances des enfants entre les membres de la communauté et les autorités locales ».
Les participants ont analysé les causes des accusations de la sorcellerie tout en dégageant les conséquences et quelques recommandations ou suggestions pour palier à ce phénomène d’accusation de la sorcellerie qui est devenu monnaie courante dans la province du Sud Kivu.
Les cadres des bases ont prié la décision de vulgariser la loi portant sur la protection des enfants et ont vivement remercié le Centre OLAME pour cette séance, qui a permis de discuter sur leurs rôles de protéger les enfants.
Ils ont aussi suggéré au Centre OLAME d’étendre cette sensibilisation à un nombre beaucoup plus important et dans d’autres parties de la ville de BUKAVU afin que ce fléau prenne fin.
Dialogue social sur la protection des enfants et leurs droits à Walungu
Dans le cadre du projet prise en charge holistique des enfants accusés de la sorcellerie et enfants en difficultés, financé par CHILDFUND DEUTSCHLAND, il a été tenu en date du 04Juin2021, un dialogue communautaire dans la grande salle de la paroisse de KALOLE située dans le territoire de WALUNGU. A traves cette activité, le Centre OLAME avec le financement de CHILDFUND DEUTSCHLAND entend protéger les familles et particulièrement les enfants en situation difficile
Durant cette activité à laquelle étaient conviés différents leaders communautaires de WALUNGU, le commandât de la police chargée de la protection des enfants et certains parents des enfants en situations difficile ; les participants ont développé sous la facilitation de Madame GISELE BABUNGA et Madame PASCALINE RUTAHA respectivement chargée du projet et animatrice du Centre OLAME, une thématique portant sur « les cas des maltraitances des enfants entre les membres de la communauté et les autorités locales ».
Les participants ont analysé les causes des accusations de la sorcellerie tout en dégageant les conséquences et quelques recommandations ou suggestions pour palier à ce phénomène d’accusation de la sorcellerie qui est devenu monnaie courante dans la province du Sud Kivu.
Les participants dans cet atelier ont prié la décision de vulgariser la loi portant sur la protection des enfants et ont vivement remercié le Centre OLAME pour cette séance de travail, qui a permis de discuter sur leurs rôles de protéger les enfants.
Ils ont aussi suggéré au Centre OLAME d’étendre cette sensibilisation à un nombre beaucoup plus important et dans d’autres territoires de la province afin que ce fléau prenne fin.
Lancement du projet de protection des enfants et jeunes filles travaillant dans les mines
Dans le cadre du projet de protection des enfants et jeunes filles travaillant dans les mines, une activité de lancement du projet a été réalisé à LUHIHI dans le territoire de KABARE, à MULAMBA et MUBUMBANO dans le territoire de WALUNGU et à NYABIBWE dans le territoire de KALEHE par le staff du centre OLAME pour informe et impliquer la communauté et d’autres intervenants au projet. Ont pris part à cette activité les cadres locaux, les membres de coopératives et les potentiels bénéficiaires du projet. Cette activité visait à aider la communauté ainsi que les différentes parties prenantes au programme à prendre connaissance du projet
Dans le but d’amener chacun des participants à réagir et comprendre le projet, il a été adopte une approche participative permettant aux participants non seulement de partager les expériences mais aussi de poser des questions pour mieux comprendre le projet Les parties prenantes ont été outillés chacun dans la limite de ses attributions, sur le comportement à adopter et les résultats que nous voulons atteindre.
Généralement, tous les participants ont été convaincus que ce projet permettra de réduire les abus dont sont victimes les enfants et jeunes filles travaillant dans les mines et se sont donnes le devoir de s’approprier le projet afin qu’il atteigne les résultats. Les parties prenantes ont été outillés chacun dans la limite de ses attributions, sur le comportement à adopter et les résultats que le centre OLAME veut atteindre.
En termes de perspectives, il a été dit que plusieurs autres séances d’activités seront organisées avec la communauté pour permettre aux parties prenantes à mieux comprendre ses rôles et les lien d’intervention dans ce projet.
Atelier de Formation sur la nutrition et la sécurité alimentaire
Dans le cadre du projet prise en charge holistique des enfants accusés de la sorcellerie et enfants en difficultés, financé par CHILDFUND DEUTSCHLAND, il a été tenu en mois de Mai 2021, une série d’ateliers de formations sur les concepts de base de la nutrition et de la sécurité alimentaire dans différents milieux où le projet est implanté dont à Luhihi et Murhesa dans le territoire de Kabare en date du 06 et 14 Mai 2021, à Burhale et Kalole dans le territoire de Walungu en date du 07 et 12 mai 2021 et à Burhiba en date du 13 Mai 2021 pour les groupes des bénéficiaires de la ville de Bukavu. A traves cette activité, le Centre OLAME avec le financement de CHILDFUND DEUTSCHLAND entend contribuer à l’amélioration durable de la sécurité alimentaire des populations pauvres et vulnérables du Sud Kivu
Le Centre OLAME, soucieux du bien-être de la femme en générale et de la jeune fille en particulier, a jugé bon de former 100 parents des jeunes enfants accusés de la sorcellerie et en difficulté dans les concepts de base de la malnutrition et de la sécurité alimentaire. ces ateliers ont été réalisés sous la facilitation de Madame CITO RUMPUTU Micheline (experte en nutrition) et Madame NABINTU NTAGEREKA Fortune (experte en nutrition)
Selon les facilitatrices de cette formation: » tout le monde est concerné par les problèmes de nutrition et toutes les maladies dues à la malnutrition peuvent être prévenues ».
Ainsi, elles ont conclus leur formation en montrant aux participants qu’il faut manger sains, frais spécifiquement les fruits, les légumes et d’éviter les aliments non protéiques (fretins, les poissons importés, les produits et boites conserves…).
JIF 2021: le Centre Olame prime 46 femmes au service de l’Archidiocèse de Bukavu
Le Centre Olame de l’Archidiocèse de Bukavu vient de primer une quarantaine des femmes qui se sont distinguées dans leur travail au quotidien dans l’Archidiocèse de Bukavu. C’était au cours d’une activité organisée dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des droits des Femmes célébrée le 8 mars de chaque année.
La célébration de cette journée internationale des droits des femmes s’est déroulée sous la présence de l’Archevêque de Bukavu, monseigneur François Xavier Maroy dans la salle Concordia en commune d’Ibanda, ce 24 mars 2021.
Thérèse Mapenzi Mema ( centre Olame) plaide pour la construction des routes agricoles pour relever la femme
Thérèse Mapenzi Mema, la Directrice du centre Olame indique que l’archidiocèse de Bukavu a voulu célébrer cette journée dédiée aux femmes le jour de l’annonciation du seigneur pour sensibiliser les femmes à leur promotion et leur autonomisation pendant cette période difficile du Covid-19. Une occasion également de reconnaitre les mérites de certaines femmes de l’archidiocèse de Bukavu.
« Nous avons trouvé que parmi les femmes de l’Archidiocèse de Bukavu et surtout celles qui nous ont précédé il y en qui ont beaucoup travailler pour la promotion des droits de femmes. Nous les avons identifié d’une manière discrète mais aussi en posant de questions aux bénéficiaires de leurs activités et celles qui ont travaillé depuis 1959 jusqu’aujourd hui, pour lister le nombre des femmes qui ont travaillé à Bukavu comme enseignantes, mamans paroissiales, infirmières, religieuses et ce qu’elles ont fait. Et on voit que les mamans ont sélectionné toutes ces femmes qu’on a primé. Nous sommes fières parce qu’elles sont encore vivantes, il y a celles qui sont déjà décédées, nous citons par exemple Espérance Hendwa et Solange Lusiku. Cette dernière a travaillé dans les médias mais a marqué l’Église catholique. Elles n’ont pas été primées par nous mais aujourd’hui nous nous sommes dit qu’on ne doit pas attendre que ces femmes meurent pour reconnaître leurs mérites» dit Mapenzi Mema.
Il faut voter femme et non parti politique » recommande le centre Olame
Pour Annie Bukaraba l’une de 46 lauréates, la reconnaissance de leur travail au niveau local est une émulation qui va les pousser à travailler encore plus pour que le respect des droits des femmes et surtout de la parité soit une réalité au Sud-Kivu.
Dans cette activité, les femmes de l’Archidiocèse de Bukavu accompagnées des femmes d’autres confessions religieuses ont été édifiées sur les droits des femmes, sur la vie d’une femme chrétienne en famille mais aussi sur la protection de l’environnement.
Les conférencières, des femmes leaders de la ville de Bukavu, ont clairement démontré que les femmes sont des êtres spéciaux. De ce fait, elles méritent de jouir de tous les droits reconnus aux hommes.
Lors du débat, il a été démontré que la femme est au centre de la protection de l’environnement. D’où un appel aux gouvernants qui doivent définir une politique de gestion des déchets pour que les femmes vivent dans un environnement sain.
Pour le centre Olame , être indépendant, « c’est inventer, créer, produire et consommer localement »
Cette activité était aussi une occasion d’exhiber les talents et les capacités des femmes de la ville de Bukavu. Aux côtés des diplômes de mérite décernés par Olame, des cadeaux constitués des savons liquide, des pagnes, des briquettes pour la cuisson, des sacs à mains et des cadres fabriqués par des femmes ont été remis au lauréates.
Parmi elles figurent madame Matilde Muhindo, ancienne Directrice du centre Olame ,Maria Masson , Natalina de E’eka bana, Mwa Bacu Nyenyezi de Vday, Annie Bukaraba , Nene Bintu, ancienne de la CDJP, ….
FORMATION DES JEUNES EN ART CULINAIRE
Dans le cadre de réduire le taux de chômage chez les jeunes de la province du Sud-Kivu particulièrement ceux de la ville de Bukavu, Le centre OLAME organe les séances de formations pour les jeunes désœuvrés en art culinaire. Financé par Promost-Swisscontact. Cette nouvelle phase de formation a pris une période allant du 15 décembre 2020 au 27 janvier 2021et a permis aux formateurs du centre OLAME de donner un formation de qualité à 18 jeunes filles et 3 jeunes garçons âgés de 18 à 35 ans et venant de différentes parties de la ville de Bukavu.
A la fin de cette formation, les apprenants ont acquis les compétences suivantes:
- Aptes de faire la mise en place de la cuisine et son dépôt, du restaurant et des installations sanitaires. L’hygiène est devenue leur devise.
- Ils savent déjà réceptionner les matières premières et les conserver et maitrisent les techniques de triage, épluchage, nettoyage, conservation …
- Ils préparent convenablement des boissons chaudes et froides (des thés et café, des bouillies…; les jus) et ils aiment beaucoup cette activité.
- Ils utilisent certains appareilles électroménager : le réchaud, le mixeur, les gaufriers, la batteuse électrique, les fours,…
- Ils préparent correctement plus de 12 recettes de légumes et les servir.
- Ils préparent les céréales et ont déjà de notions de pâtisserie telles que la préparation de beignets de qualité et galettes, merveilles, beignets ordinaires, mini hamburger.
- Ils savent préparer la sauce tomate, sauce aux carottes, de sauces blanches, des sauces aux poivrons.
- Ils sont capables de préparer des accompagnements tels que : le foufou, le frites
cet atelier de formation s’est tenu à la maison de formation du centre OLAME sis Av. P. GEORGE DEFOUR à BUGABO. Etaient comme formateurs Messieurs YANNICK MUNGOMBA et Christian CUMA MWEZE
Formation des responsables des maisons de conseils sur la prise en charge psycho-sociale, sante mentale et la sociothérapie
Le centre OLAME Bukavu Exécute depuis le mois de juin 2020, un projet intitulé Maisons des conseils et d’amélioration des conditions des vies socio-économique des femmes/ jeunes filles et leurs ménages dans 30 paroisses de l’Archidiocèse de Bukavu, en territoire de Walungu, Kalehe, Kabare, Idjwi et une partie du térritoire de Mwenga. Ce projet financé par MISEREOR et CAFOD, poursuit l’objectif de contribuer à la réduction des violences causées par les conflits armés en renforçant les activités de maison de conseil existant dans les paroisses, pour offrir aux familles l’espace pour discuter sur tous ces problèmes afin de guérir les blessures et réduire les cas des violences dans les communautés, parvenir à développer la résilience…
C’est dans ce sens que pour contribuer à guérir ces plaies, le Centre Olame Bukavu a organisé une activité de renforcement des capacités de ses animatrices (responsables des maisons de conseils) sur la prise en charge psycho sociale des victimes de violences de toute sorte en recourant à l’approche de sociothérapie, qui est une approche communautaire de reconstitution des relations et des liens sociaux de façon durable, une manière de détraumatiser les communauté et développer un mécanisme de résilience.
Cette activité s’est ténue du 21 au 22 Janvier 2021 à la maison de formation du centre Olame BUKAVU située à BUGABO dans la commune de KADUTU et avait pour objectif principal de former les animatrices provenant de 30 paroisses sur la prise en charge psychosociale des victimes des atrocités de toute sorte afin d’apporter des pistes des solutions et de contribuer à la réhabilitation émotionnelle des familles survivantes des conflits pour les amener petit à petit à la résilience.
Afin de bien organiser cette activité, le centre Olame BUKAVU a fait recours à l’expertise de Mme Dr Dévote CIREGANO MULANGALA travaillant chez DPS-programme National de santé Mentale. Cette formation ne constitue qu’un pas pour faciliter les responsables des maisons de conseil à bien jouer leur rôle de guide, de facilitatrice que de conseillère tout en sachant que les différentes victimes ont déjà les hypothèses de réponses à leurs problèmes. Il convient donc de bien les canaliser pour éviter que les solutions proposées et/ou les orientations données génèrent d’autres problèmes.
Capacitation des agents sur la chaine de communication administrative
Dans le but d’améliorer la chaine de communication administrative et respect hiérarchique au sein du Centre Olame BUKAVU, le dit centre a organisé un atelier de capacitation de ses 19 agents en date du 15 Janvier 2021 sous la facilitation de Monsieur Jean Jacques BA MURHANDIKIRE.
Cet atelier avait comme objectifs:
- Contribuer à l’amélioration et au respect de la chaine de communication administrative et au respect hiérarchique au sein du Centre Olame;
- Amener les agents du Centre Olame à respecter les principes directeurs d’une bonne administration (Esprit de l’Église catholique et de la déontologie) ;
- Amener les agents du centre Olame à lire les textes qui les régissent et à les observer .
- Proposer un outil d’évaluation et suivi des agents en termes de communication administrative (Exercice final)
L’atelier s’est tenu à la maison de formation du centre Olame BUKAVU situé à BUGABO dans la commune de KADUTU, il a débuté à 8h30’ et a pris fin à 17H00’ et a connu la Participation de tous les agents du Centre Olame (19 au total) à l’exception de la directrice